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Elle est belle comme une fleur,
le regard qui tue les résistances
et, sous l’insolente poitrine,
chante un cœur épris d’amour.
Mon âme se dégrise à la voir marcher,
la hanche raconte l’épopée nocturne
où les mains se confondent,
les corps se libèrent du joug quotidien.
Entre elle et mon corps qui s’efforce
à vouloir tout, en même temps,
il n’y a rien d’autre que la sueur
des mouvements qui rapprochent
les folies interdites et différentes,
des rêves peu communs et pluriels.
Passer une moitié de la nuit
à la convaincre et l’autre moitié
à m’assurer qu’elle est mienne,
c’est le crucial effort inévitable
pour que son âme accepte
de céder aux douleurs d’un destin;
délicieux et unique, à nul autre pareil.
Quand le baiser a un goût étrange
entre la sève des roses et le jasmin,
entre le parfum subtil et l’odeur inconnue
qui vous accueille au paradis,
vous vous dites que le bonheur
n’est pas dans l’éclat du diamant,
le son des deniers qu’on amasse
ou le vertige des richesses immenses,
il est dans un regard qui force la beauté
à s’incliner par crainte de mourir.
Il me faudra, beaucoup écrire,
sur les marches du verbe aimer
pour qu’elle comprenne qu’elle est
au cœur des nirvanas que l’encens parfume.
Volutes de volupté et promesses frémissantes
sur les draps de satin, encore, tièdes
que les corps, sans cesse, martyrisent
avant que le jour n’apporte le réveil importun.
Quand des fois, j’ai soif d’elle,
l’eau claire des sources vierges
reste incapable d’étancher le besoin.
Mon regard s’étiole et mon cœur s’endort
Son prénom devient un refrain, une prière
que je reprends pour m’habituer à son absence.
Pleure, poète, ton âme se déchire
c’est en souffrant pour l’aimer
qu’elle deviendra plus belle encore !
Volutes de volupté et promesses frémissantes
sur les draps de satin, encore, tièdes
que les corps, sans cesse, martyrisent
avant que le jour n’apporte le réveil importun.
Quand des fois, j’ai soif d’elle,
l’eau claire des sources vierges
reste incapable d’étancher le besoin.
Mon regard s’étiole et mon cœur s’endort
Son prénom devient un refrain, une prière
que je reprends pour m’habituer à son absence.
Pleure, poète, ton âme se déchire
c’est en souffrant pour l’aimer
qu’elle deviendra plus belle encore !