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Coups de cœur
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Slide 1Slide 2Coups de coeur
Du cinéma à la poésie ou de la photographie à la peinture....
Ce qui a vraiment un sens dans l'Art,
C'est la joie.
Vous n'avez pas besoin de comprendre.
Ce que vous voyez vous rend heureux.
Tout est là !
Constantin BRANCUSI
Slide 3Coups de cœur
Une fleur, un coucher de soleil ou une belle femme qui emmène le regard, la vie ne se compte pas au nombre de respirations mais au nombre de souffles coupés
Catégorie
Coups de coeur
Du cinéma à la poésie ou de la photographie à la peinture....
Ce qui a vraiment un sens dans l'Art,
C'est la joie.
Vous n'avez pas besoin de comprendre.
Ce que vous voyez vous rend heureux.
Tout est là !
Constantin BRANCUSI
Coups de cœur
Une fleur, un coucher de soleil ou une belle femme qui emmène le regard, la vie ne se compte pas au nombre de respirations mais au nombre de souffles coupés
Ce qui a, vraiment, un sens dans l’Art, c’est la joie.
Vous n’avez pas besoin de comprendre.
Ce que vous voyez vous rend heureux.
Tout est là !
(Brancùsi)
Marcel Duchamp définit l’art ainsi : « Je crois que l’art est la seule forme d’activité par laquelle l’homme en tant que tel se manifeste comme véritable individu. Par elle seule, il peut dépasser le stade animal, parce que l’art est un débouché sur des régions où ne domine ni le temps, ni l’espace. »
En effet, l’art est le propre de l’homme puisque c’est une activité qui fait appel aux sens, à l’émotion, à l’intellect. Mais la définition de l’art est très complexe. Vous prenez n’importe quel objet, un urinoir par exemple, (comme celui exposé par Marcel Duchamp en 1917) vous l’exposez dans un musée avec une étiquette en dessous et c’est considéré comme de l’art.
Ainsi, pour Marcel Mauss, « un objet d’art, par définition, est l’objet reconnu comme tel par un groupe. » Beaucoup de domaines concernent l’art : l’architecture, la sculpture, la peinture, la musique, la poésie mais aussi la danse, le cinéma, le théâtre, la photographie etc.
Photo Nature – Etangs d’Apigné Rennes Nikon D5300 Sigma Macro 70-300 APO
J’aime à jouer avec les mots car à force de les manipuler, ils sont devenus l’instrument adapté à cette aventure interne que chacun aimerait à entreprendre. Quand l’idée jaillit au détours d’un regard ou quand l’air se parfume aux relents d’une chevelure, l’esprit devient l’arène bruyante où les contes et légendes se heurtent et se bousculent. Il ne reste plus qu’à fermer les yeux et se laisser guider par les couleurs de l’imaginaire. J’entre alors dans le royaume de la mémoire et là, je n’ai que l’embarras du choix. La rue que j’emprunte, alors, est celle où la beauté s’étale en long et en large. Comme la rue qui mène au jardin des fleurs, cette rue, là, est un enchaînement de lignes, de courbes et de volumes qui, quand elles se mettent en mouvement, le sol se met à tanguer et le vertige donne au regard cette volupté qui, sur la mer calme ou déchaînée, donne au marin cette ivresse qui sent l’iode et l’embrun.
Des crinières aux couleurs flamboyantes aux chevilles plus fines que les hampes d’orchidées, du feu du regard qui, telle une braise réveillée par le vent, brûle ce qui reste à ma patience d’éternel amoureux des choses belles et rares au ventre plat qui frémit à la caresse du regard, je me goinfre de douceur et de parfums jusqu’à n’en plus pouvoir.
Quand j’arrive devant sa fenêtre close, mon cœur suspend son rythme et mon souffle se retient. Le mystère des mystères est bien « comment fait-elle pour me savoir si près de son cœur malgré le mur qui nous sépare ? » Comme une porte qui s’ouvre en grinçant, la fenêtre s’entrebâille, les rideaux s’écartent et, comme une lune qui déchire les nuages dans un ciel noir, elle apparaît, le sourire en promesse de bonheur, la bouche à peine entrouverte comme contrôlée par la peur. Mon cœur, comme un enfant pris en faute, retient son souffle et dans ma tête comme un murmure « Dieu qu’elle est belle ! » se répète en écho jusqu’au fin fond de mon être. Elle me sourit, heureuse de me voir, et d’un signe du doigt, elle m’indique la direction à prendre pour la retrouver. j’enjambe la clôture et me retrouve dans le silence d’un jardin où les insectes nocturnes jouent, en désordre, leur symphonie toute en désaccords. Le bruissement des feuilles, le cœur qui saute et moi qui sursaute quand , en me retournant, son corps en filigrane, sous sa longue chemise et…
Un pas, l’’un vers l’autre, jusqu’aux mains qui se cherchent et se trouvent. Les corps qui se rapprochent jusqu’à se toucher…
Comme par hasard, c’est ce moment là que le réveil se met à sonner..
Le cœur ne garde que ce qui l’a bouleversé !
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