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Aucune pitié
Un temps de pause pour comprendre et éclaircir cette tendance, désormais, « normale » sur le réseau bleu et qui consiste à s’étaler, en commentaires, politiquement correctes, propres comme un spécimen humain spécial venu de l’aile spéciale VIP du Bon Dieu, s’il existe. Un moment, la révulsion était si grande que toute l’inutilité de ces pages affichées sur le net était si évidente que chaque mot tapé était une perte de temps. Les gens sont faux, si faux qu’ils ne ratent aucune occasion pour se la péter comme indemne de toute imperfection. Ils étaient comme l’immaculée conception, une sorte d’espèce fabriquée dans le secret des dieux avec un ego si immense qu’ils sont incapables de voir leurs orteils.
Arrogants dans leurs bêtise de se croire au dessus de la mêlée, au point de sentir leur odeur avant même qu’ils apparaissent, ils restent aux aguets pour vous tomber dessus dès que vous vous relâchez ou que vous ne faites plus attention à eux. Une sorte de censure sournoise qui s’invite pour venir surveiller le moindre écart pour vous interdire le droit de vous tromper. Dès qu’un écart de langage est perpétré, même involontairement ou sous l’effet d’une colère, somme toute légitime, ils gonflent le torse, reniflent l’atmosphère et vont jusqu’à piaffer d’aise quand ils comprennent que vous leur avez donné le droit, sans le savoir, de venir vous couvrir de bave retenue derrière cette admiration qu’ils vous cultivent mais qu’ils refusent de vous reconnaître par crainte de disparaître dans leur insignifiance humaine. Ils sont comme ça, ces fossoyeurs des ambiances qu’ils subissent sans pouvoir y changer quelque chose.
C’est presque parce qu’ils n’arrivent qu’à maintenir le nez hors de l’eau qu’ils vous en veulent quand ils vous regardent faire comme si vous marchez à la surface de ce qu’ils n’arrivent pas à voir, à concevoir et à réaliser. De petits esprits qui s’empêtrent dans leur mesquinerie qui vous donnent envie, soit de vous en débarrasser pour ne plus être indisposé par leur présence, soit tout laisser pour qu’ils prennent conscience de l’odeur fétide qui se dégagerait dès les esprits libres ont quitté le navire…
Je m’échine à rester correcte et me désobliger à être désagréable mais, à force d’ignorer la futilité de certains et certaines, les écorchures finissent par m’occulter par où souffle cet oxygène qu’on appelle la liberté. Celle de toutes les tendances et toutes les envies même celles de l’inadvertance ou de la maladresse qui ne fait de mal à personne sauf aux fausses sensibilités brandies comme un trophée qui ne veut rien dire.
A leur place, je serais prudent car toute la volonté à rester calme peut engendrer en moi, ce malin plaisir à déstabiliser certaines fausses consciences. Je sais la valeur des mots, ceux qui font sourire ou susciter des larmes mais je garde pour ceux qui veulent insulter mon intelligence ceux qui ne commencent à agir que longtemps après…
A bon entendeur, salut !
L’Arnaque
L’histoire d’AREVA, le géant du nucléaire, m’a rappelé celle de l’islamisme politique. Plus de 50 centrales nucléaires qu’il faut alimenter en Uranium. Lequel uranium est importé du Niger (d’où la présence militaire française dans cette région) après avoir été purifié sur place. Pendant longtemps, on a fait croire aux français que l’électricité par le biais de cette technique était la moins chère. la catastrophe nucléaire de Fukushima, au Japon, à la suite du tsunami consécutif au séisme du 11 mars 2011 a rappelé aux dirigeants d’Areva qu’il fallait renouveler le parc nucléaire en 2012. Le coût selon la direction est estimé à 55 milliards d’Euros, 110 selon le médiateur à l’Assemblée Nationale. Si ce n’était que l’entretien, l’affaire se serait arrêtée là mais quand les associations vertes ont voulu savoir où vont les déchets nucléaires et quel est leur volume, on leur a répondu qu’ils sont traités à la Hage puis stockés et, toujours selon la direction, le volume ne remplirait pas une piscine olympique ! Encore un mensonge pour continuer à exploiter le filon. En une décennie le prix de l’électricité a doublé et toute l’histoire de recyclage des déchets, du vent ! En réalité, seul 1% de l’uranium qui sort appauvri des centrales est récupéré en Plutonium. 99% des déchets sont stockés et remplissent 183 piscines olympiques ! AREVA continue pourtant à flouer l’opinion publique en promettant d’autres techniques pour ré-utiliser les déchets.
Revenons à l’islamisme et, comme AREVA, il promet l’accès facile au paradis si et seulement si, la société se conforme à ce qu’il prêche. Qu’importe les problèmes de la société, la volonté divine est là pour en minimiser les conséquences. Que l’école périclite ou qu’elle soit déviée de son objectif, l’essentiel est d’assurer des contingents de fidèles. Qu’importe les chiffres du chômage si chacun met tout son espoir dans ce qu’Allah exaucerait pour les jeunes sujets. Qu’importe le progrès technologique quand la foi est là pour déplacer des montagnes.
Comme AREVA, toujours là à engranger des milliards d’Euros, l’Islamisme politique pompe toute l’énergie de la société qu’il infiltre et c’est son seul objectif ! Une multinationale qui puise sa matière première dans les terres les plus pauvres pour la transformer en rêve vendue à qui tombe dans le traquenard spirituel du paradis clé en main.
La France se retrouve embarrassée par des centrales en fin de vie, des déchets enterrés d’où suintent des particules radioactives contaminant les nappes phréatiques. Les pays où s’est installé l’islamisme politique se retrouve avec des générations d’ignorants, une économie en faillite et une cohésion sociale au bord de l’explosion.
Peur
Ce monstre tapi au fond de nous, bien caché derrière le cervelet et qui nous murmure ce qui pourrait nous arriver si… Cela va de la crainte d’attirer la foudre pour peu qu’on songe à couper le cordon ombilical à la peur de se tromper, de paraître ridicule ou de perdre la face. On a l’impression que le Dieu que nous avons inventé n’a d’yeux que pour nous et que ses anges épient nos moindres gestes pour aller, ensuite, tout lui rapporter. C’est d’autant plus pesant quand on se laisse entraîner vers cette hantise collective, installée à coups de serments, de « khotbas » et de sempiternels conseils répétés dans la bouche du grand père, du voisin ou de l’imam. En plus de cette peur naturelle qui transpire des remous de notre instinct de conservation, nous acceptons d’être mis sous surveillance, un peu comme si nous étions, perpétuellement mis en examen par un inquisiteur invisible qui note jusqu’à nos plus profondes et intimes pensées.
De cette mise en condition, il en découle une mentalité paralysée par le qu’on dira-t-on, à peine apte à respirer sans bruit, allant parfois jusqu’à en vouloir à ceux qui n’ont pas hésité à s’en défaire. Nous leur en voulons, non pour leur courage à s’emparer de leur existence mais par peur, toujours elle, d’attirer l’opprobre juste parce qu’on est avec eux. Ils deviennent, pour nous alors, comme la preuve vivante de notre complicité ou de notre penchant à aller à contresens de ce qui a été établi.
Nous avons peur de dire, à voix haute, ce que nous pensons tout bas, peur de ne pas être capable de trouver les mots ou jusqu’à l’intonation pour le dire. Peur de se laisser aller et apparaître comme un être incapable de se contrôler et rester à l’intérieur du chemin balisé par les autres. Quand on dit que la peur est contagieuse, cela ne vient-il pas de notre aptitude à imaginer de plus grandes catastrophes que celles dont on s’est servi pour nous formater mais de cette docilité acquise pour éviter toute remontrance. L’exemple du voile pour la femme qui a peur, non de DIEU mais du mâle en rut perpétuel, en est sa quintessence !.
A la peur de ne pas être à la hauteur de l’estime héritée grâce à notre volonté à nous conformer à l’ordre établi, celle de risquer de nous tromper et mériter le mépris de ceux qui se sont autoproclamés parfaits. Ni Dieu, son paradis ou son enfer, ni ses anges ou ses démons ne sont pour quelque chose dans notre acceptation du devoir d’avoir peur. Ce devoir, non écrit et non dit, qui bouscule la raison pour enrober jusqu’à l’idée que nous avons du patriotisme. Un bon citoyen doit avoir peur sinon il devient une menace pour la sécurité intérieure, une incitation subversive et dangereuse à défier ce fantôme qui se balade entre le rêve et une réalité construite sur la peur. Si les feux de circulation ne nous font pas peur, ils annoncent, en clignotant, qu’il faut avoir peur de la présence de l’agent qui a fini par transformer l’uniforme en armure. Il le sait et il en a pris conscience au point qu’il s’est réservé le droit de vous voir coupable avant même de demander vos papiers.
Quand vous lirez cet article, n’ayez pas peur d’exprimer votre refus à croire que je peux avoir raison. Bousculez cette léthargie qui, à la longue, vous opprime et vous empêche de, simplement, respirer. Osez dire que je ne fais que radoter comme un vieux ouvrier déçu par sa retraite ou le délire d’une vieille femme qui n’a pas pris le temps de regarder grandir sa progéniture. Évitez de vous laisser manipuler par cette peur qui vous fait voir les autres comme des esclaves qui osent penser à devenir maîtres. Dites-vous que vous avez le droit de commettre des erreurs, de paraître ridicules ou de penser que d’autres peuvent avoir raison de ne pas réfléchir avec la peur au ventre. Le droit à l’erreur fait durcir votre volonté à bien faire car, en plus d’être du courage, il est l’unique occasion de devenir meilleur en étant vous mêmes… sans avoir peur !
Beau comme Dieu
On s’arrête, souvent, ébloui,
devant les couleurs d’une rose,
on ne résiste pas à l’envie
de plonger sa main,
dans l’eau d’une source
qui murmure ses origines,
on n’hésite pas à libérer le regard
quand une femme l’entraîne,
inconscient, dans son sillage
et on vient m’annoncer
que Dieu interdit le beau
qu’il a créé pour m’étourdir.
La chanson sonne si faux
que l’oiseau s’étonne et s’éloigne.
L’ignorance a l’odeur repoussante
la tolérance, un parfum subtil
qui se mérite et se dispute
dans les jardins de l’humanité.
Quand mon cœur trépigne,
s’emporte, s’oublie et se repose
mon péché vient, souvent,
de ma fragile sensibilité.
Que puis-je, alors, devant lui
s’il m’a voulu ainsi, fidèle adepte
de toute cette beauté qu’il crée ?
Libre à ceux qui ont choisi,
par crainte ou par ignorance,
de croire que le mal se cache,
souvent, dans le regard qui s’en va,
dansant et insouciant dans le sillage
d’une démarche à qui rien ne résiste.
Le divin en nous doit rencontrer
le beau dans ce qui est divin sinon
aucune vie ne mérite d’être vécu !
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